Michel Delpech все тексты (слова) песен, переводы, видео, клипы

C'était nos quinze ans
La bande aux copains
Les cocas, le ciné
Le Madison Twist
Et les petits baisers
Sur la bouche des fiancées

C'était nos quinze

Les corbeaux crient dans le ciel rouge
Des femmes en sari se baignent
Le soir descend, c'est la fête de Holi
Devant la mer phosphorescente

Il y a des gens qui rient
En se lançant de la peinture
Et des feux allumés

J'ai toujours besoin de dire ce qui se passe en moi
Je ne suis pas de ceux qui se cachent très facilement, tu vois.
Je n'ai pas beaucoup d'argent mais si j'en avais
J'aurai une maison où, où on vivrait.
Si j'étais un sculpteur, j'y reviens mais non
Ou alors un magicien dans un théâtre ambulant
Ce n'est pas grand-chose mais mon cadeau, c'est un peu de moi
Ce n'est qu'une chanson mais celle-là, elle est à toi.

À sa façon de nous app’ler ses gosses
On voyait bien qu’ell’ nous aimait beaucoup
C’était chez ell’ que notre argent de poche
Disparaissait dans les machines à sous

Après les cours on allait boire un verre
Quand on entrait Laurette souriait
Et d’un seul coup nos leçons nos problèmes

Certains se sentent un peu blessés dans leur virilité
Ils se croient ridicules quand ils se font draguer par une fille
Ils se croient ridicules quand ils se font draguer par une fille
Moi je ne ressens rien de tout ça, je n'ai pas ces idées-là
Je ne me sens pas humilié pour ça, on est un homme ou on l'est pas.

Draguez-moi, draguez-moi, montrez-moi ce que vous savez faire
Draguez-moi, draguez-moi, j'ai toujours aimé me laisser faire.

(Non, non, elle se moque de toi
Non, non, elle se moque de toi)

Je veux crier sur les toits
Qu'elle va revenir vers moi
Je veux savourer ma joie
Il faut fêter ça
J'ai cru que c'était fini

Si le bar était français
Le brouillard était anglais
C'était hier et Paul chantait Yesterday.
Un pauvre type buvait
Tout en comptant sa monnaie
En se moquant de ce que Paul disait.
Dehors une heure sonnait
Un nouveau jour commençait

J'ai le béguin, je ne pense qu'à toi
C'est extra de ne penser qu'à toi
J'ai le béguin quand tu es dans mes bras
C'est extra, tu me rends dingue chaque fois
Fan de tes grands yeux
De ton sourire, je suis fan de toi
Je suis amoureux
Sans te le dire, je suis fan de toi

Hier soir, j'ai vu un film
Qui se passait aux États-Unis
Le héros se retrouvait
A l'autre bout du pays
Dans un wagon à bestiaux
Entre une vache et son petit veau
Dans la chaleur de la nuit
Il voulait rentrer chez lui

On peut scruter le ciel
Entendre l'appel
Retourner les pierres
Du jardin d'Eden
Trébucher, tomber
Et s'en prendre à nous-mêmes
Ou accuser
Dieu lui-même

Elle n'est pas très bien réveillée
Elle fait tourner sa cuillère dans son thé
À quoi pense-t-elle dans sa tête
Je ne sais rien d'elle, on s'est connu hier

Une nuit, ce n'est qu'un début
Mais elle aussi a l'air un peu perdu
Est-ce qu'elle devine que je l'aime

L'AMITIÉ N'EXISTE PLUS
Paroles: Jean-Max Rivière
Musique: Gérard Bourgeois
(1968)

J’aurais préféré perdre un bras ou même n’avoir jamais vécu
Qu’être aujourd’hui arrivé là où l’amitié n’existe plus.
Chaque mot devient tout à coup comme une morsure à l’oreille

Il y a en qui aime s'aimer sur un lit
D'autres sur les bords du chemin
Il y en a qui préfère la mousse de bois
Moi ce que j'aime c'est le train.

Moi j'aime l'amour en wagon-lit
Entre Nice et Paris
C'est bon quand le train roule dans la nuit

Oh, la vie, la vie, la vie, la vie
Si belle soit la vie, c'est une tombola
Mais la vie, la vie, la vie, la vie
Si moche soit la vie, c'est un joli combat
Oh, la vie, la vie, la vie, la vie
Si belle soit la vie, c'est une corrida
Mais la vie, la vie, la vie, la vie
Si moche soit la vie, c'est du beau cinéma

Ma famille habite dans le Loir et Cher,
Ces gens-là ne font pas de manières.
Ils passent tout l'automne à creuser des sillons,
A retourner des hectares de terre.
Je n'ai jamais eu grand chose à leur dire
Mais je les aime depuis toujours.
De temps en temps, je vais les voir.
Je passe le dimanche dans l'Loir et Cher.

Pour commencer j’aimerai bien goûter
au potage jaune ou de corbeaux
a moins que vous me conseillez
la soupe aux ailerons de cachalots
oh, oh, oh

je viens pour la première fois
alors je vous en prie, guidez-moi

Il est fatigué, le prince charmant, il est fatigué, son beau cheval blanc
Ses rêves bleus sont un peu gris, son épée d'or est en fer blanc

Je suis fatigué d'être celui-là
Je n'ai plus la force de tricher un jour de plus avec toi
Ou je te perdrai ou tu m'aimeras
Mais ce soir je ferme les yeux et ce soir je t'ouvre les yeux

LES HIRONDELLES SONT PARTIES
Paroles: Michel Delpech
Musique: J. Datin
(1968)

Les hirondelles sont parties et, toi, tu es à leur image,
Tu as toujours une aile ailleurs, le pied sur un autre rivage
Toi, je te vois, tu as les yeux, les yeux tournés vers les nuages

Elle pleure
Sans bruit dans mon rétro
6 heures et demie
Le temps est pourri
J'met la radio
J'entends plus le moteur
J'entends plus que mon cœur
De taxi driver

Je suis seul comme une vieille fille
Qui n'attend plus rien
Oublié comme une voiture
Au fond d'un ravin
Et rien à l'horizon
Pas même un signe
Pas même un train qui siffle
La nuit

C’est en forgeant qu’on devient forgeron
C’est en massant que l’on devient maçon
En polissant qu’on devient polisson
Mais pour gagner des sous,
Mais pour gagner des sous
C’est en bûchant qu’on devient bûcheron
En relatant qu’on devient relation
C’est à cent ans qu’on devient moribond

Pour un flirt avec toi
Je ferais n'importe quoi
Pour un flirt avec toi
Je serais prêt à tout
Pour un simple rendez-vous
Pour un flirt avec toi

Pour un petit tour, un petit jour

Pour un flirt avec toi
Je ferais n'importe quoi
Pour un flirt avec toi
Je serais prêt à tout
Pour un simple rendez-vous
Pour un flirt avec toi

Pour un petit tour, un petit jour

Чтобы пофлиртовать с тобой
Ля ля ля ля ля
Ля ля ля ля ля
Чтобы пофлиртовать с тобой,
Я сделаю все, что угодно,
Чтобы пофлиртовать с тобой.
Я буду готов на все,
Ради простого свидания,

J'ai mon rhumatisme
Qui devient gênant.
Ma pauvre Cécile,
J'ai soixante-treize ans.
Je fais d'la chaise longue
Et j'ai une baby-sitter.
Je traînais moins la jambe
Quand j'étais chanteur.

Toutes les filles tous les garçons rêvent en secret d’un idéal amour.
Un super amour.
Tous les garçons toutes les filles ont en secret de leur banal amour.
Un super amour.

N’importe où, n’importe quand mais pas avec n’importe qui.
Pour un jour, ou pour toujours, ou pourquoi pas pour une nuit.

C’est un beau roman, c’est une belle histoire
C’est une romance d’aujourd’hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l’autoroute des vacances
C’était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main