Ca ne suffit pasPromesse de destin qui se chavire, ça fait plutôt sourire dans les premiers temps.
Puis l’homme sous l’emprise de ses désirs, veux –tu m’aider à gravir les marches du temps.
Plus de traversée du désert, mon manque et mon air, je ne me lasse pas de toi, plaisir de souffler sur les braises, de toucher quand même si ça brule au bout des doigts.
A quoi bon s’en cacher, je t’aime et ça ne me suffit pas, j’ai perdu d’envies et de rêves pour la première fois.
L’amour se pare pour nous éblouir, difficile de prédire ce qui nous attend.
L’idéal sous forme de souvenir, on finit par devenir, ce qu’on détestait tant.
A présent, je lis sur tes lèvres l’histoire qui s’achève et j’en perçois les premiers pas.
Le plaisir de l’âme est plus fort que l’élan du corps, on s’envisage du bout des doigts.