Cette chute brutalePresque Inerte, titubant, en proie aux illusions les plus confondantes, t'éponges çà et là de tes pieds moites le
trop plein de sueur. Tu craches une fièvre des lendemains, une rage animale et vengeresse,
qui tapisse ta gorge boursouflée, dont se délectent ces pantins émasculés. Cette chute brutale fracasse tes os
en milliers de morceaux tous plus acérés ; qui sifflent au vent et témoignent d'un viol, tristement murmuré,
violemment exécuté
De Sorte Que Plus Jamais Un Instant Ne Soit MagiqueLovées sur les repères branlants
De leurs vieux rêves
Fanées
Faites au gré de nos vices
Abreuvées par nos supplices
Et nos couronnes
De célébration
Des torrents de coupsÀ la lueur d’une bougie fumelante
dont la blême flamme hésitante
dissimule maladroitement des torrents de coups
et tout ce sang (et cette odeur de rance)
Ils s’embrassent, ils s’enlacent, se caressent
Il la flatte, l’idolâtre sa déesse
Ils se battent, se frappent, ils se blessent
Il la dégoûte, il se joue de sa détresse
El adivinoA la soledad, le hice la cruz
A la libertad, la he perdido contigo
A la claridad, cante la canción de un amigo
Este amor tenaz lo guardo conmigo
A la luz del sol le cumplo promesas
A la Virgen y a Dios, agradezco la vida
Y maldigo y enciendo una vela
Queriendo arrancar de mi piel
Father's SonMaybe I care, maybe you don't
Maybe I'll let go, maybe you won't
Could there be two of us?
Could there be two?
Maybe I'm lonely, maybe you're lost
Maybe I'm an echo, or maybe you're a ghost
Could there be two of us?
Could there be two of us?
Hear My VoiceHear my voice
Hear my dreams
Let us make a world
In which I believe
Hear my words
Hear my cries
Let me see a change
Through these eyes
I'm HereHow do you still remember?
My mind and memories young
I want you January to December
Another trip around the sun
A lifetime of sunshine
Enough time to know that you're
You're keeping your eyes on me
Keeping your eyes on me, no doubt
Il se vide lentementÀ mesure qu’il force les barrages,
insolent, souillant ces visages.
Usé jusqu’à la corde, attaché à sa misère,
Pendu aux voix lointaines de ces jeunes filles délétères.
Il se vide lentement, délesté de toute consistance.
Il se vide lentement, le cœur aussi lourd que le silence.
In The Summer Of My LifeI'd be lying if I said I wasn't bothered
That this heat didn't last for longer
I think of you in the distance
You disappear with the time
And I don't wanna stop the sun from the shining
But all the hopes I had, I left behind
In the summer
In the summer of my life
Mi principio y mi finalNo lo puedo creer,
se van los minutos de mi vida, se van…
tan llenos de nuevos sentimientos y en paz,
serenos de tanto imaginar tu mirar.
Te he comenzado a amar.
Y tú serás
dueño del amor que hay en mi vida, serás…
On pendra les femmes et les enfants en premierPoussés par le goût du vice à grimer toutes ces pages surannées. Possédés par la mémoire des
damnés pour profaner toutes les tombes des appelés. Acharnés à pervertir vos instincts, on pendra
vos dieux par les pieds dès demain, on pendra les femmes et les enfants en premier, on brûlera les
vieux et les infirmes en premier. Pas près d'en finir, la pitié ça ne prend pas, pas près d'abdiquer la
pitié ça se boit pas... Tous autant dire que vous êtes tous condamnés, autant dire que vous êtes tous
condamnés, vous repartirez les pieds devant, vous repartirez sans le moindre jugement.
Plisse les yeux jusqu'au sangLuttant contre la nausée qui te gagne,
tu fais les cent pas, les yeux clos.
Plisse les yeux jusqu’au sang, sans un mot.
Interminable marche arrière
en basculant dans cette eau agitée,
Souffle, souffle, pour t’assurer de ne plus jamais, ô jamais, remonter.
The PromiseWho is it? You again? Thought you left
But you never go too far
Remember when we overslept
That morning when our thing fell apart
But I never learn, I always lust and over trust
I do it to myself
But I can't be burying these feelings
When it's the best thing that I ever felt
Une insomnie avec qui tout le monde voudrait baiserC'est la même rengaine que l'on ressasse,
Une verrue purulente qu'on traîne et emmène.
Toi elle t'efface et t'embrasse.
De l'allaitement au dernier repas,
Un gavage orchestré à la baguette
Qui te courbe l'échine à coup de pines.
With idle handsCrest of a wave
I can’t escape
To breathe again
Clung to a place
Where I felt estranged
More slips away
Slow on the take
Не отдавай прохожим...***
Ты написал бы музыку,
Я знаю! Если б не был с ней
Твой взгляд, блуждающий во мгле.
Ты написал бы музыку
Я знаю! Если б стало чуть теплей
В ее руках, распятьем взоров на стене.